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mercredi 4 janvier 2012

le nouveau blog est arrivé !

Voici l'article qui sonne le glas des aventures de supakAt. 

Mais ne te lamentes pas, toi, mon lecteur d'amour car 
la super-héros laisse la place à un bien beau papillon, 
j'ai nommé Lucky Katy. 

Un grand merci pour ta fidélité mon cher lecteur, en espérant que le nouveau blog te plaise tout autant sinon plus. Si toutefois ce n'était pas le cas, je me féliciterais d'avoir pu partager un bout de ma vie avec toi.  


A très bientôt j'espère !

dimanche 1 janvier 2012

Le blog de supakAt en chiffres

Le 17 février 2011, je publiais le premier article sur ce blog.

En moins d'un an, ce sont :
- 16 539 pages vues
- dont le pic de fréquentation a été atteint en décembre avec 3 346 pages vues
- 186 articles (excluant celui-ci)
- soit une moyenne de plus de 15 articles par mois (oui, ça fait quasi 1 article tous les 2 jours)

La majorité de mes lecteurs résident en France (bassin de lecteurs le plus important) ou au Canada (ô surprise lol) bien que d'autres lecteurs me lisent depuis d'autres pays.



Quand on fait un bilan chiffré comme ça c'est que le temps est venu de changer de blog. Je l'ai déjà créé, sa mise en page commence à ressembler à quelque chose. Il ne reste plus qu'à écrire un premier article… 


Je vous donnerai l'adresse du nouveau blog quand ça sera chose faite :)


La suite et la fin au prochain épisode !

2012 : les débuts

On a bien achevé 2011

Avant de parler de 2012, un petit mot sur la fin de 2011.

J'ai passé la soirée d'hier en agréable compagnie : un bon repas chez Anne en compagnie de Tom, son plus jeune. Résumé de la soirée en images :

Tom refuse de se faire prendre en photo : vous comprendrez donc à quoi j'ai passé la soirée hihihi

le beau sourire d'Anne pour nous parler de sa succulente fondue chinoise Belgian touch
la fondue chinoise, ça ressemble à ça

étape 1 : mettre au centre d'une galette de riz tous les ingrédients de votre goût - dont la viande cuite dans le bouillon

étape 2 : un peu de pratique d'origami plus tard, vous obtenez un beau paquet dodu

étape 3 : plongez le tout dans la sauce de votre choix et dégustez sans tarder :p

sauce 1 : succulente
sauce 2 : délicieuse
(manque photo sauce 3 aigre-douce)


c'est pas du PGO mais du Nys. On s'est bien régalés quand même ! :)

choisir, c'est renoncer. Vous comprenez pourquoi Tom se concentre ainsi !

malgré la concentration sur ce beau défi (quoi manger et dans quel ordre), Anne ne perd pas le sourire 



2012 : la continuité des changements

En 2012, j'ai prévu de pérenniser les changements majeurs intervenus dans ma vie en 2011 (et même bien avant ça). On va arrêter là (temporairement) avec les gros défis, les gros projets (quoique… mais en y allant cool alors). Maintenant que je suis au Québec, il me reste à m'y intégrer au mieux. Maintenant que j'ai un nouveau travail, il me reste à y trouver mon équilibre (ou à en changer si je n'y parvenais pas). Etc. 

J'ai vraiment envie de me poser dans ma "nouvelle" vie, y digérer tous les virages à 180° entrepris, traverser la zone de turbulences ainsi créée dans tous les secteurs de ma vie pour parvenir à une zone plus confortable. On verra après ça pour démarrer de nouveaux projets, consolidons d'abord les balbutiements de ceux déjà engagés. 

A ce titre, 2012 a commencé ce matin de façon tout à fait normale : câlin à mon chat au pelage de velours, vaisselle, rangement, sortir les vidanges, faire une lessive… Rien que du normal et ça me va très bien. 


Ce qui va changer en 2012

Assurément, je vais changer de marque de lessive, d'assouplissant et de lingettes pour le sèche-linge. Vivement que j'ai fini ceux-là, je ne les aime pas ! ^^ A part ça, pas d'autres changements majeurs prévus. Reste à voir si la vie me réserve des surprises…

Que 2012 vous soit douce !

Every one is a star and deserves a chance to shine - Marylin Monroe

Je vous souhaite une merveilleuse année, 2012 bonheurs et autant d'opportunités à savourer. 

Je vous souhaite de vous accorder le luxe, pourtant essentiel, d'être vous même. Ne cherchez pas à changer, à devenir quelqu'un d'autre pour vous aimer. Aimez celui ou celle que vous êtes dès aujourd'hui. C'est là que réside la clé de votre bonheur. 

Vous avez plein de défauts ? Tout le monde en a. L'amour véritable est inconditionnel : ce ne sont pas 3kg en plus (ou davantage) qui doivent vous empêcher de vous aimer. Ceci n'est qu'un prétexte pour remettre à plus tard la seule chose qui est pourtant vitale : apprendre à vous aimer. 

Et en matière d'amour, on en apprend tous les jours. S'aimer n'est pas un but qu'on atteint ou pas, c'est un sentier sur lequel on chemine en compagnie de soi.

oui Yves/Daniel, je te l'ai piquée ^^ 


Si vous ne cherchez pas à vous changer, personne ne cherchera à vous changer. Aimez vous comme vous êtes et tout le monde vous aimera comme vous êtes. Vos différences sont votre chance, votre identité, votre signature, ce qui fait toute votre valeur ajoutée à ce monde, quoique puissent en penser certains esprits chagrins.

Vous êtes un être unique et merveilleux. Ne perdez pas votre saveur à tenter en vain de satisfaire la multiplicité de goût des autres. Innovez dans votre façon d'être. Créez-vous vous même chaque jour, loin de toute imitation, sans pour autant rejeter toutes les sources d'inspiration.

Etre vous-même est sans danger pour vous même. Ne laissez personne ne serait-ce qu'insinuer le contraire.

Aimez-vous. Moi, je vous aime ! Bonne année 2012 !

vendredi 30 décembre 2011

L'heure du choix

L'être humain est doué de raison. Enfin, soi-disant… En ce sens, il ne répond pas à un événement par des réflexes comme les animaux mais par un choix. Chaque instant de vie pose une problématique à laquelle il faut trouver une solution. La meilleure bien sûr. 

Choisir, c'est renoncer. Et c'est bien là le drame. Choisir, c'est une chance sur deux de se tromper, l'angoisse de mal faire. Des vieux schémas du passé ancrés, comme un tatouage indélébile de l'esprit.



Tous les moment de choix ne se valent pas. Il y en a qui vont de soi et d'autres plus ardus.

Alors que cela faisait cinq bonnes minutes que j'étais dans ce rayon du Dollorama à être incapable de me résigner à devenir le bourreau par qui arrivera la damnation pour l'une des alternatives de mon choix en devenir, la voix de la sagesse a raisonné en moi : "Coudonc Kathy ! Ce ne sont jamais que des stylos que tu dois choisir !"

Le fait de venir vivre au Québec a toujours été pour moi une évidence : ouf, une chance ! Vu mes hésitations pour des choses sans importance, je n'aurai pas été prête de me décider si j'avais dû choisir de venir vivre au Québec… ^^

jeudi 29 décembre 2011

Mon café en vidéo

C'est quoi cette vidéo de mon café ? Je suis dessus de dos et en plus en tant que cliente - je venais de finir mon service - (à 0'09 et 0'10 - manteau marron glacé avec un sac à dos)… pfffff…

On ne voit même pas comment il est super beau avec le foyer (qu'on aperçoit), les sofas (qu'on ne voit pas) et tout et tout ! La musique aurait pu être mieux… Remboursez !!!!

Bon, enfin, parce que c'est toi mon lecteur, voici quand même la vidéo…

lundi 26 décembre 2011

Cocotte Story

La journée avait mal commencé. De le pluie tombait ruinant ainsi tous les ridicules micro-amas neigeux dont les températures particulièrement douces de décembre avaient tout de même daigné nous gratifier. On semblait s'en aller vers un Noël vert… pire : gris pluvieux. 

C'est dans cet état d'esprit que ce jour de la mi-décembre passée, j'ai dû me rendre à l'évidence : je devais combler le vide de mon frigo en allant faire mon épicerie. Les pneus de ma supakAtmobile m'ont mené ce jour-là chez Loblaws si je me rappelle bien. J'y ai acheté mes produits habituels quand soudain, au détour d'un rayon réfrigéré, je suis tombée nez à nez avec une bouteille de lait de poule. 



Je dois être honnête, ce n'était pas notre première rencontre. Les hasards de la vie m'avaient déjà placé sur la trajectoire de cette étrange breuvage. Mais la peur de l'inconnu avait eu raison de moi et je n'avais pas donné suite à notre rencontre.

Mais ce jour-là, j'avais soif d'aventure, d'étrangeté, d'inédit. J'ai donc placé une bouteille de cet élixir dans mon chariot. Plus tard dans la journée, je la rangeais dans mon frigo qui était content d'avoir enfin de quoi réfrigérer.

Mon alzheimer latent m'a fait oublier la présence de ladite bouteille pendant plusieurs jours. Je l'ai revue l'autre jour mais je n'avais pas le cœur assez accroché pour des sensations fortes. C'est donc aujourd'hui, en présence de Tatie Sylvie et Tatie Anne de Québec, que j'ai décidé d'extraire le jus de curiosité des limbes éclairées de mon réfrigérateur. Mes matantes étaient en terrain connu. Elles m'ont garanti que c'était bon. Rassurée par leurs encouragements, j'ai trempé les lèvres dans l'étonnante boisson. 

Je dois avouer que j'ai trouvé ça bon, bien que lourd. Mais goûter n'est pas comprendre. Comment se fait-il que les poules québécoises fassent du lait ? Ont-elles muté ??? 

C'est en lisant la liste des ingrédients que j'ai résolu l'énigme du lait de poule : ça s'appelle ainsi parce que ça contient du jaune d'œuf. Du lait partiellement écrémé, du sucre, des substances laitières modifiées, de la crème, de l'eau, du jaune d'œuf congelé, de l'inuline de racine de chicorée, de a gomme de guar, de la carraghénine, des épices, du rhum et le lot habituel de dextrose, phosphate dipotassique, arôme et colorant naturels.

supakAt, votre dévoué super-héros, enquêteur à ses heures perdues, a donc testé pour vous le lait de poule et dévoilé tous ses mystères. Comme à chaque fois que je teste une bizarrerie, je me permets de publier mes dernières volontés : je lègue tout à mon chat et donnez mon corps en pâture aux ours… s'ils me trouvent comestibles ^^

dimanche 25 décembre 2011

Un cadeau de Noël surprenant

Moi ça va bien ou à peu près. Enfin… mieux.

J'ai eu un gros coup de calgon ces derniers jours. Je ne dis pas que je suis gonflée à bloc désormais mais j'ai trouvé des moyens de reprendre le contrôle, au moins partiel, de la situation. Parce que soyons clair, mon côté maniaque me pousse à vouloir tout contrôler et quand je ne peux justement pas tout contrôler, à être super stressée, agacée et in fine triste. Et c'est plate, parce que dans la vie, on ne contrôle pas grand chose en général…

L'ouverture du café s'est bien déroulée. On peut offrir un réel service de qualité au client sans trop de loupés ou d'approximations. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : on est une équipe toute nouvelle où chacun cherche la place qu'il peut y occuper, on est aussi beaucoup de nouvelles recrues en mal d'expérience. 

Cela dit, globalement, on est une équipe de vrais pro ; j'entends de personnes qui ont vraiment le souci du service client, du travail bien fait, de l'esprit d'équipe. Et ça, c'est une chance juste incroyable ! J'aime vraiment travailler avec mes collègues : on a toutes (ben oui, les garçons travaillent le soir, je ne les vois pas) chacune nos qualités, nos points forts et à nous toutes, on forme une équipe du tonnerre. 

Côté obscur du café (je veux dire : ce que les clients ne peuvent pas voir), c'est un peu plus délicat. Là encore, je tempère mon propos : j'imagine qu'aucune ouverture de café ne peut être parfaite et on a probablement le maximum qui puisse être obtenu pour une ouverture. L'arrière-boutique (le bureau du gérant si vous préférez) n'a pas bénéficié du même soin que la surface de vente. Il n'y a pas d'ordinateur, pas d'imprimante/fax/photocopieur, pas même une lumière au-dessus du bureau, pas de tiroirs et étagères de rangement, etc. Sans rentrer dans des détails que, pour jouer sur les mots, je ne peux pas relater par ailleurs et encore moins ici, ça a été grave le bordel. 

Ceux de mes lecteurs qui ont eu la (mal)chance de travailler avec moi savent que mon bureau est toujours en effervescence, que certains qualifieront de bordel, mais que nenni, je sais où j'en suis, je sais ce que j'ai et ce que je n'ai pas. La créativité se nourrit d'un chaos apparent (poétique dirais-je) que les esprits non-créatifs ne peuvent absolument pas comprendre.

Mon côté Monk, comme le décrit si justement mon ancien collègue Pierre, me pousse à ne tolérer aucune intrusion dans mes affaires, encore moins le vol (emprunt à long terme vous diront certains) de mes articles de papeterie. Rien ne m'agace plus que de perdre du temps à chercher un stylo, un formulaire ou whatever. Imaginez vous donc que là, ce n'est pas mon bureau, ni mes affaires et qu'en plus je les partage avec une dizaine d'autres personnes.

Je ne supporte pas non plus les approximations (foutu caractère entier, binaire devrais-je dire). On est, je l'ai dit, pour beaucoup, des nouveaux employés, et des approximations (totalement involontaires bien sûr), il y en a eu, à tous les jours.

Je ne critique personne : faire la fermeture, ce n'est vraiment pas simple. Beaucoup de tâches à accomplir et surtout la fatigue d'une journée de travail dans les pattes et dans la tête.

Mais les approximations sont venues perturber mon travail d'ouverture qui lui, doit se faire en un temps défini, qui ne peut être prolongé. A 5h30, on ouvre et tout doit être prêt pour le premier client qui ne tarde jamais. Et vendredi matin, malgré tous mes efforts, tout n'était pas prêt quand le premier client est entré. Et ça, c'est le pire qui peut arriver. 

Tout ça a eu le don de me rendre hystérique. Une hystérie bien sûr contenue, qui a travaillé contre moi-même au fil des jours. 





Qu'on le veuille ou non, pour être efficace, il faut installer une routine de travail, des procédures, des repères, de la rigueur. Bordel = manque d'organisation et de repères = inefficacité = stress, erreurs = mauvaise estime de soi = agacement, fatigue, tristesse. 

Rajoutons à cela qu'en ces temps exceptionnels d'ouverture de café j'ai travaillé 9 jours d'affilée sans repos en me levant à 3h du matin, en cherchant à acquérir un rythme de vie qui ne se placera qu'avec du temps.

N'oublions pas non plus que nous sommes en période de Noël et vous aurez tous les ingrédients explosifs d'un bon gros ras-le-bol. 


Pour le fun, on a eu un gros dégât d'eau au café jeudi matin (le tuyau d'une machine qui s'est déboité, libérant au cours de la nuit plusieurs centimètres d'eau dans tout le café et l'arrière-boutique). Quelle agréable surprise à 5h du matin ! Je n'ai toujours pas compris comment on a été capable d'ouvrir quasi normalement… Ce jour-là, j'ai réussi à garder le sourire. Mais le lendemain, (sûrement le contre-coup + mon ouverture ratée + tous les autres éléments associés), je n'étais plus capable de donner totalement le change. 



Je suis de repos aujourd'hui et demain. Je dors comme un loir neurasthénique. Je me suis offert mon plus beau cadeau pour Noël hier : ne pas réveillonner et aller au lit vers 20h. Ne me lever qu'à 8h (avec des périodes d'interruption, ça fait quand même 10h de sommeil). Cuisiner sans me fatiguer. Faire une sieste de 2h. Aller boire un café, me balader avec Anne sous la neige, rire de ma tenue d'esquimau, bref, me changer les idées sans réclamer trop d'efforts à mon organisme.

Mon moral convalescent a été sympa : il m'a permis de trouver des petits trucs (de génie) qui m'aideront ne serait-ce qu'un tant soit peu à m'organiser au travail indépendamment du semi-chaos ambiant. 

Vendredi (le jour où mon moral se fissurait de toutes parts), à l'occasion d'une discussion de travail, j'ai avoué à la personne qui gère temporairement le café ma difficulté à travailler sereinement et à ouvrir le café dans des bonnes conditions pour les raisons que je vous ai expliqué.

Samedi, en arrivant, j'ai versé ma petite larme d'émotion en voyant que tout avait été rangé, organisé avec les moyens du bord, que le travail de fermeture avait été correctement effectué. Ca va vous paraître stupide mais ça a été le plus merveilleux cadeau de Noël qu'on pouvait m'offrir ce jour-là. 

Comme par magie, ma préparation pour l'ouverture a été terminée en un temps record et surtout, sans stress. Malgré la fatigue et les tensions accumulées ces derniers jours, j'avais un vrai sourire pour accueillir les clients. Et la sincérité derrière un sourire, ça ne s'achète pas comme une tasse de café, mais ça a pourtant une énorme valeur… 




lundi 19 décembre 2011

Tranche de vie (plate)

je me sens vieille, vous pouvez pas savoir…

à 19h, j'ai mon chat qui ronronne sur les genoux et je lutte contre le sommeil.

Pour arriver à mon nouveau rythme (dont je parlais tantôt), je dois lutter contre le sommeil jusqu'à 22h (plus que 3h à tenir…)

Mais comment font les gens qui sont en forme sérieusement ??? ^^

Il ne me manque plus qu'un snuggie, et c'est la totale…

Balade du dimanche aprem

Assez parlé de travail, d'organisation, de temps ! Parlons de trucs cools ! 

Dimanche, après l'ouverture du café, je suis rentrée chez moi vers 14h sous un soleil magnifique malgré le temps froid (- 10° je crois, peut être - 13°, je ne sais pas, je n'ai pas de thermomètre).

Ca tombait bien parce que j'avais réalisé avec horreur quelques jours auparavant qu'en deux mois, je n'avais encore jamais été me promener à pied aux alentours de chez moi. Ca ne pouvait donc plus durer ! ^^

Ni une ni deux, je suis allée cheminer le long de la piste cyclable qui passe en arrière de chez moi. C'est au calme, bordé d'arbres. Soi-disant que cette piste cyclable relie le centre-ville de Trois-Rivières jusqu'à des kilomètres plus loin vers l'ouest. Je n'ai fait qu'environ 3 à 4 km aller/retour.


pas pire hein ? :)


du sable ! on se croirait à la plage !!!

la voie ferrée ou passe quelques fois par jour des trains de marchandises




Je me suis rapidement rendue compte que j'avais perdu l'habitude d'aller me promener au Québec en constatant que je n'avais pas pris : 
- de mouchoir (le froid, ça débouche !)
- de lunettes de soleil (il faisait vraiment un soleil radieux)
- de bonnet pour me couvrir les oreilles (j'ai fait avec la capuche du blouson mais c'est quand même moins confortable)

Puis évidemment j'ai croisé d'autres promeneurs qui eux avaient pris tout ça (enfin, pour le mouchoir je ne sais pas mais je le suppose).

A un moment donné, j'entendais une personne en roller qui s'apprêtait à me dépasser. Je me suis donc faite doublée par un papi de 70 ans environ, filiforme et en forme. Là, je me suis dit qu'il était vraiment temps qu'à 32 ans avec toute ma cellulite, je reprenne le sport…

Par curiosité, sur le chemin du retour, j'ai testé sur une centaine de mètres le principe postural du chi running dont m'avait parlé Céline. Ben effectivement, la différence s'en ressent immédiatement même si je ne suis pas sûre d'avoir bien placé mes pieds comme il faut… Je me suis aussi rendue compte que la posture du buste en avant, je l'adoptais naturellement quand je faisais de la marche rapide dans la campagne vauréenne jadis durant ma pause déjeûner…

Bref… c'était une belle après-midi :)